six ans se sont déroulés dans un 'calme d'exagération'.
Dès bas-fond obscurs et inquiétants d'une cave en passant par de l'architecture de bal jusqu'à un sommet immédiat, les bals continuent encore et en corps.
Le voici donc ce bal dans une ferme avec ou sans animaux
Vous passez la porte de la ferme, habitué ou par curiosité, longez l'allée de séparation, entrez sur la place du bar. Au sud, se trouve la favela théatre, au nord la salle du bal, c'est à cet endroit que se trouve la caisse afin de profiter agréablement de la soirée, sans se dire « je ne peux pas aller dans la salle du bal quel dommage! ».
Le bal a commencé à vingt heures avec son célèbre son de cloche.
Durant cette cérémonie ou nuit de troubles, vous pourrez écouter des musiciens de différentes nationalités dans trois lieux différents.
Dans la salle de bal en rouge, le genre de musique est psycho-musette par Gallina la lupa.
Puis transylvanienne par la Menina sin nombre, ainsi que de la cumbia par le petit orchestre de poche. Le plus incroyable a été le collectif les Trackers, qui avait une masse démesurée/impressionnante d'instruments.
A la Place du bar, un nombre incalculable de personnes discutaient, buvaient des verres, dansaient, avec quelques passages de la fanfare les Encombrants, toujours aussi rythmée, malgré quelques gouttes de pluie.
Passons au favela théâtre où le jaune dominait avec ou sans vent, Gallina la lupa a joué en début de soirée.
En face Tarabanda et Télamuré ont joué de la musique calabraise. Le favela théâtre était devenu par moment italienne avec le trio Tarabanda, puis Bania a interprété de la musique du gwana.
Le mot de la fin s'est passé dans la salle du bal ambiance rouge avec Gallina la lupa et Hot s.a.
